20 novembre 2012
Chef de meute
Face à l'adversité, je fuis.
Je ne fuis pas par peur mais par pitié.
N'en avons-nous pas marre de devoir courir, se battre, prouver, faire le beau, ramper... Tout ça pour un droit temporaire et certainement futile ?
Moi si.
Il y a bien longtemps que je m'en suis lassé.
Baisser les bras ? Jamais.
Mais j'ai ma fierté.
Je ne suis ni un chien, ni un esclave. Et encore moins un Chef de Meute qui se bat pour garder sa place.
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